mercredi 22 juillet 2015

L’éducation et le web social


L’éducation et le web social
Du point de vue économique ou social, l’éducation est un sujet assez important. Selon le dictionnaire Larousse, on pourrait définir l’éducation comme la «Formation de quelqu'un dans tel ou tel domaine d'activité ; ensemble des connaissances intellectuelles, culturelles, morales acquises dans ce domaine par quelqu'un, par un groupe.[1]» Dans le cadre de ce travail, nous nous concentrerons principalement sur l’éducation dans le cadre académique : l’enseignement d’une connaissance à un étudiant par un professeur.
De manière générale dans  le milieu académique, des échanges fréquents sont faits entre les étudiants et le professeur : cours donné par le professeur dans une salle de classe, questions de l’étudiant au professeur avant ou après le cours, questions d’un étudiant à un autre… Ces échanges ou encore interactions peuvent être regroupés en deux catégories. Les interactions formelles : échange entre l’étudiant et le professeur et les interactions informelles : échanges entre les étudiants. 

Le professeur est celui qui dispense le cours, c’est celui qui forme. Il détermine, les règles qui seront de mises dans le cadre de son cours. L’étudiant reçoit la connaissance, il a donc un besoin de formation qui est comblé par le cours dispensé par le professeur. Ces relations sont basées sur le fait que dans la société actuelle, le besoin de suivre un enseignement de qualité est indispensable pour avoir un emploi.  Tant et aussi longtemps que la société (les entreprises) demanderont des candidats ayant certaines connaissances, ces interactions demeureront.



De nos jours
Nous pouvons constater qu’avec les technologies de l’information et de la communication, certaines variations se font sentir.

Lieu de communication : le monde du virtuel
·         Il y a quelques années, par exemple tous les cours se donnaient exclusivement dans une salle de cours. Aujourd’hui, plusieurs cours sont donnés en ligne (par internet).
·         Comme autre changement on peut aussi constater que l’information qui autrefois était principalement contenue dans les livres se trouve maintenant disponible sur internet. On est donc passé de la bibliothèque physique à la bibliothèque virtuelle. Les échanges entre étudiants sont eux aussi plus «informatisés».
·         Les rencontres de groupe «physique» sont remplacées par des créations de groupe sur internet (Diigo, groupes sur Facebook etc.) permettant aux étudiants de pouvoir échanger librement et dans la confidentialité (groupe sécurisé).

Moyens de communication
·         Le changement le plus évident est celui du tableau noir et la craie remplacés par un vidéoprojecteur et un ordinateur et un tableau interactif blanc.
·         Le courriel est devenu le moyen de communication par excellence entre un professeur et l’étudiant. Lorsqu’un étudiant a besoin d’une information, il suffit qu’il envoie un courriel à son professeur ou à son camarade pour avoir l’information voulue.
·         Le cellulaire est aussi un outil de communication très utilisé par les étudiants dans leurs échanges.
·         Les professeurs utilisent aussi des plateformes telles que Moodle pour permettre aux étudiants d’avoir accès au cours. Elles permettent aux professeurs d’y mettre leurs cours, d’envoyer des messages à tous les étudiants inscrits au cours et même de créer des groupes où pourront échanger les étudiants.
Bien que ces changements qui incluent pour la plus part l’intégration du web social dans les échanges  permettent de faciliter l’apprentissage et la communication il faudrait tout de même y mettre des garde-fous.
Quand on observe par exemple le rôle du web participatif (tout ce qu’un utilisateur peut faire sur le web[2] dans l’éducation on constate qu’il existe encore une population ignorante ou qui manque «d’éducation numérique».  Cette population qui à l’heure du numérique et laissée à elle-même à plus de chance de mal se former que de recevoir l’éducation dont elle a besoin.

Plagier : la tentation
Larousse définit le plagiat comme : «commettre un plagiat ; piller les œuvres d'autrui, les reproduire exactement.»[3] Le risque de plagier a toujours été présent dans le milieu de l’enseignement. Lorsqu’un étudiant fait des recherches pour faire son travail de session, il arrive des fois qu’il trouve un travail similaire disponible sur internet ou une information qui serait intéressante pour la réalisation du travail. Un étudiant non éduqué au monde numérique pourrait alors tout simplement copier l’information telle qu’elle, sans donner la source et ce avec tous les risques que cela comporte : travail de mauvaise qualité, travail contenant des informations fausses etc.

La vérification des sources
·         Les blogues, les fora ou encore les encyclopédies libres permettent de rendre les informations plus accessibles. Ils ont cependant comme inconvénient (pouvant être un avantage quelques fois) que tout le monde peut y mettre son grain de sel. Vérifier donc les sources de toutes les informations trouvées sur internet devient un travail supplémentaire que les étudiants (et même les professeurs) doivent effectuer avant de sélectionner une source.
·         Les informations trouvées sur un forum par exemples peuvent être vraies tout comme elles peuvent d’avérer fausses. Il faut prendre en considération que les fora permettent à tout le monde de s’exprimer et de donner son opinion. En suivant ce lien: http://www.commentcamarche.net/forum/affich-859570-conversion-jpeg-pdf on constate que sur ce site un utilisateur a un problème : convertir des images en format PDF. Pour ce problème, il reçoit l’avis de plusieurs personnes. Ces personnes peuvent être des experts dans le domaine ou encore des personnes qui n’y connaissent rien. En prenant la peine de lire chacun des avis des différents utilisateurs et de donner une appréciation, cela permet aux autres utilisateurs de savoir quelle source considérer et quelle source ignorer.
Le contexte actuel semble déjà très évoluer. Mais avec les changements constants que subissent les technologies, on pourrait se demander comment les choses seront dans un an, dans cinq ans ou encore dans vingt ans.

Dans un an
En observant les tendances actuelles, il est difficile de voir un changement drastique dans l’année qui suit. On peut tout de même supposer que certains moyens de communication ou outils de recherche de l’information deviendront plus commun, que le pourcentage de la population les utilisant ne fera qu’augmenter.

Dans cinq ans 
·         Les tableaux numériques interactifs
Tout comme le TBI a remplacé le tableau noir, les TNI vont remplacer à leur tour les TBI. Facilitant l’apprentissage en permettant au professeur de faire des modifications directement sur le tableau et de conserver ces modifications dans l’ordinateur. L’article suivant nous explique plus précisément ce que c’est : http://www.gtn-quebec.org/publications/article/tableaux-numeriques-interactifs-interoperabilite/.
·        Du web2.0 vers le web 3.0
Apparu autour de 2003, le web 2.0 est l’évolution du web vers la simplicité et l’interactivité [4]. « Le web 3.0 quant à lui sera sémantique, c'est-à-dire que, au lieu de simplement montrer le contenu de la page, il pourra en comprendre le sens et faire des liens avec de l'information de même nature se trouvant ailleurs sur le réseau Interne… Le Web 3.0 permettrait d'ordonner l'information surabondante et chaotique qu'on trouve sur Internet en éliminant les éléments redondants et en sélectionnant ou en hiérarchisant les autres en fonction des besoins de chaque usager[5].»  On y voit donc là un outil intelligent qui aiderait sans doute les étudiants dans leurs travaux et facilitera la tâche au professeur.

Dans 20 ans
Je n’ose pas imaginer ce que pourrait être l’avenir de l’éducation dans 20 ans.  Nous sommes de plus en plus dépendants de la technologie. Lorsqu’un bureau n’a pas internet pendant quelques heures, presqu’aucun employé n’est capable de travailler. Lorsqu’une école n’a pas internet pendant le même nombre de temps il est difficile pour le professeur d’aller chercher son cours (sur Moodle par exemple). Comment ferons-nous dans vingt ans? Serons-nous toujours victime de cette dépendance? Personnellement je pense que oui. Plus l’homme découvre de nouvelles technologies et plus il se rend compte des avantages de cette technologie, plus il en a besoin. Il y a des milliers d’années l’Homme faisait le feu avec deux pierres, quelques temps après il a commencé à le faire avec des allumettes ensuite sont apparus les briquets et les différentes variations. Qui irait encore allumer du feu avec deux pierres? Le monde ne recule pas mais avance, les technologies aussi et l’éducation ne sera pas laissée pour contre.

La place aux hologrammes.
L’éducation de mon point de vue dans 20 ans  est une éducation qui fait place aux hologrammes.  Un hologramme du professeur pourrait dont être créer et ce dernier pourrait donner cours aux étudiants peut importe où ils se trouveraient. J’ai récemment lu un article qui parlait de l’apparition d’un rappeur mort il y a quelques années sous forme d’hologramme. Si on est capable de faire des hologrammes d’un mort, alors qu’est ce qui nous empêche d’en faire d’un vivant?



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mercredi 1 juillet 2015

Bilan de l'activité B - INF6107

[INF 6107]  - Activité B


BILAN


Choix de thème

À première vue de ce cours INF 6107, on a l'impression que c'est un cours d'amusement mais erreur car utiliser les réseaux sociaux et tous les outils qui y rassemblent, n'est pas chose aisée mais nécessite un grand investissement de temps.

Vous voulez avoir plus d'information sur ce cours de Web Social, cliquez sur INF 6107.
Dans l'initiative universitaire de mettre en pratique les outils du web social, c'est avec un grand plaisir que je vous amène dans l'univers des cuisines des quinze (15) pays de l'Afrique de l'Ouest.
Parler de l'alimentation en Afrique, c'est inévitablement évoquer les problèmes tragiques de faim et de famine, et plus rarement vanter les mérites d'une gastronomie aussi diverse que surprenante. Nord, centre, Sud, Est ou Ouest, le continent africain propose de nombreuses spécialités culinaires riches et variées. Je vous présenterai quelques spécialités de l'Afrique de l'Ouest. A vous de trouver la recette qui vous correspond!
Au début de cette activité je dois avouer que j’ai eu beaucoup de difficultés à choisir le thème. J’ai réservé plusieurs jours pour le choix du thème et puis finalement j’ai trouvé qu'un regroupement des recettes africaines en ligne serait un sujet très intéressant. En effet, de nos jours tous les africains immigrants en occident ont souvent la nostalgie de leurs plats préférés. Cette réalisation pourrait leur être un rappel surtout qu'à chaque plat présenté ici est associé en même temps sa recette.
Mise en place

Pour promouvoir mon initiative plusieurs moyens de communication ont été utilisés pour attirer l’attention d’un grand nombre de personnes. Premièrement, j’ai utilisé le mailing dans lequel j’ai diffusé un grand nombre de e-mails incluant mon initiative pour mes amis. Le second moyen, c’était Facebook dans lequel j’ai partagé le lien de mon blog sur mon mur avec tous mes amis. Finalement, j’ai partagé mon lien avec le groupe du cours INF6107 sur Diigo. 

Les liens

Statistiques

Après avoir passé un mois depuis le début de cette activité, je peux vous partager le fruit de mes efforts: j’ai eu 92 visites du Canada et 26 des États-Unis.







Facteurs d’aide ou de nuisance à la visibilité

Selon les statistiques, les moteurs de recherche représentent l’un des facteurs les plus importants qui m’ont aidé à promouvoir mon initiative.

Je n'ai eu aucun commentaire ou abonnement mais j'ai eu beaucoup de plaisirs à faire mes billets surtout ceux sur mon site personnel. Ceci étant dit, je considère avoir eu quand même beaucoup de visite pour un sujet léger comme celui que j'ai choisi.

Conclusion

Cette activité m’a démontré comment attirer et sensibiliser les gens sur un sujet bien déterminé.

De nos jours, c’est non seulement les moteurs de recherche qui permettent de promouvoir des sujets sur l’internet mais aussi c’est grâce aussi à l’interaction avec les outils du web social tels que les réseaux sociaux, les forums, les blogues.









dimanche 28 juin 2015

Aux Etats-Unis, il est maintenant possible d’utiliser Messenger sans compte Facebook

Le compte Facebook n’est plus requis pour utiliser Messenger dans 4 pays, dont les Etats-Unis.

Conscient que la messagerie est l’une des (rares) choses qui sont plus populaires que son réseau social, Facebook avait décidé il y a maintenant un bon moment de retirer la fonctionnalité de messagerie privée de son appli principale et de rendre Messenger obligatoire pour ceux qui veulent s’échanger des messages sur leurs smartphones.
Comme on a pu le constater, depuis, Messenger est devenu un service à part entière. Durant la conférence F8, Facebook a d’ailleurs dévoilé pas mal de nouveautés concernant cette appli (Valentin nous expliquait comment Messenger est sur le point de devenir une plateforme).
Et maintenant, Facebook veut permettre aux mobinautes d’utiliser Messenger, même sans compte Facebook.
En substance, si vous détestez Facebook mais que vous souhaitez utiliser Messenger pour communiquer avec vos amis, ce sera possible.
Le seul souci, c’est que cette possibilité n’est (pour le moment) offerte qu’aux Etats-Unis, au Canada, au Pérou et au Venezuela.
Lorsque l’utilisateur lance Messenger pour la première fois, il lui est proposé de se connecter via Facebook ou alors sans compte Facebook.
Facebook messenger numb
Dans ce dernier cas, on lui demande un nom, une photo et un numéro de téléphone (un système à la WhatsApp). Il pourra alors profiter des fonctionnalités de Messenger, dont les appels audio et vidéo ou encore le partage de fichiers.
En revanche, puisque le compte Messenger ne sera pas lié à un compte Facebook, il ne sera peut-être pas forcément très évident de retrouver un contact avec l’appli.

Voici pourquoi l’application Moments de Facebook n’est pas disponible en Europe

Un problème avec la reconnaissance faciale.

Visage colère pixabay
Il y a quelques jours, Facebook a lancé une nouvelle application appelée Moments qui permet en substance aux utilisateurs de synchroniser, organiser et partager en privé des photos. Dans la presse techno (et même plus généraliste), on en a beaucoup parlé. Pourtant, l’application n’est pour le moment pas disponible en Europe.
Et si vous aussi, vous vous êtes à un moment demandé pourquoi Moments n’a pas été lancé dans l’Union Européenne en même temps qu’aux Etats-Unis, vous aurez droit aujourd’hui à une explication claire.
Il faut savoir que Moments utilise la reconnaissance faciale pour identifier les amis qui sont sur les photos. Cela permet notamment de les organiser (ou indexer) par personnes présentes. Mais visiblement, cette fonctionnalité ne plait pas aux régulateurs européens. De ce fait, l’application n’est pas encore proposée dans le vieux continent.
D’après un responsable qui s’est adressé au Wall Street Journal, les régulateurs ont demandé au numéro un des réseaux sociaux de proposer aux utilisateurs un moyen de désactiver la reconnaissance faciale. Mais comme un tel mécanisme n’est pas présent sur l’appli Moments, Facebook a pour le moment décidé de ne pas la proposer en Europe. Et par ailleurs, il n’est pas sûr que Facebook veuille mettre son appli en conformité avec les recommandations des « régulateurs ».
Facebook, Google et les autres géants étrangers du numérique sont souvent pointés du doigt par les régulateurs européens. D’ailleurs, au mois d’avril, Richard Allan, vice-président de Facebook en charge de ces questions en Europe, avait évoqué le fait que pour des raisons des différentes réglementations, les utilisateurs de Facebook dans l’Union pouvaient être privés de certaines fonctionnalités du réseau social.
Sinon, Google a il y a quelques jours reçu une mise en demeure de la CNIL lui demandant d’appliquer le déréférencement de liens (en vertu du droit à l’oubli) sur tous ses sites.

Projet Lightning: Twitter recrute des curateurs de contenu

Twitter dévoile son nouveau projet Lightning, pour améliorer la qualité de certains contenus, il entre dans une phase de recrutement de rédacteurs et de journalistes pour faire de la curation de contenu.

Projet Lightning: Twitter veut faire de la curation de contenu
Le curateur de contenu est en quelques sortes un rédacteur qui rédige sans créer de contenu, mais qui trie de façon naturelle les contenus, de manière à enrichir une information, en organisant les contenus, en les commentant et en les contextualisant avec d’autres articles populaires. C’est précisément ce que veut faire Twitter avec son projet Lightning

Twitter: des journalistes ou des rédacteurs pour faire de la curation de contenu

Le projet Lightning est en réalité un moyen de mettre en avant certaines informations importantes,  de façon plus logique ou humaine grâce à la curation de contenu. Il s’agit d’un travail complexe, qu’aucun robot n’est capable de réaliser, c’est donc pour cette raison que Twitter passe par une phase de recrutement de rédacteurs, de journalistes ou de curateurs de contenu.
Kevin Weil, le responsable produits de chez Twitter, a expliqué à la presse : « Cela concernera tout ce qui peut être intéressant. Il pourra s’agir de contenu actuel, de breaking news, de spectacles, de sport mais aussi d’évènements culturels. Mais c’est difficile à découvrir. En tant qu’utilisateur, vous devez vous démener et aller dénicher le meilleur contenu. Mais nous, nous pouvons le faire facilement et packager cela de manière riche ».

7 à 10 sujets mis en avant quotidiennement

Le rôle que ces curateurs de contenu auront à jouer, est de créer des listes thématiques sur des sujets, en filtrant les milliers tweets et en ne sélectionnant que les meilleurs et les plus populaires. Une sorte de travail de rédacteur en chef des tweets. Avec cette stratégie, le réseau de microblogging espère donc intéresser davantage d’utilisateurs, de les fidéliser et donc d’augmenter le taux de retweet et d’engagement. Le projet Lightning prévoit que 7 à 10 sujets seront mis en avant quotidiennement sur Twitter en utilisant cette technique, sur des sujets d’actualités très chaudes.
Pour le moment, aucune date n’a été avancée sur le lancement de cette nouvelle fonctionnalité, mais on sait que ces flux pourront également être partagés sur les sites web, ce qui devrait générer d’importants afflux de visiteurs à terme.

Google veut réduire la fréquence des clics accidentels sur ses publicités

Une bonne nouvelle pour les annonceurs et pour les mobinautes.

Vous est-il déjà arrivé de cliquer accidentellement sur une publicité sur un site mobile ou une application ? D’après une étude, 50 % des clics sur les publicités seraient accidentels. Pour les utilisateurs c’est assez énervant et pour les annonceurs qui ont commandé les publicités, ça fait perdre de l’argent pour rien.
Dans le but d’améliorer la qualité de ses publicités et des clics sur ceux-ci, Google a décidé de bloquer les clics sur les publicités dans certaines situations :
  • Les clics qui ont lieu à proximité de la bordure d’une image. En effet, selon Google, au niveau des images publicitaires sur mobile, celui-ci aurait constaté que les bordures son des lieux où les clics accidentels surviennent fréquemment. Et désormais, l’utilisateur devra cliquer sur une partie centrale de la pub pour que le clic soit validé.
Pub Google
  • Les clics sur les icones des applications dont on fait la promotion. Lorsque vous voyez des publicités comme celui-ci, il est fort possible que vous cliquiez sur l’icône de l’application alors que vous souhaitiez cliquer sur le bouton fermer. Désormais, le clic sur l’icône, vu sa proximité avec le bouton, ne sera plus pris en compte. Il faudra cliquer sur le bouton Install.
app install ppub
  • Google a aussi décidé de ne rendre les publicités « cliquables » que quelques secondes après leurs affichages.
Voilà qui devrait quand même améliorer la qualité de notre navigation.

Il a imprimé tout Wikipedia

Enfin seulement la version anglaise, en fait.

Imprimer Wikipedia
Michael Mandiberg se définit lui-même comme un « artiste interdisciplinaire ». Il aime beaucoup écrire, mais il lui arrive aussi de réaliser des performances un peu décalées. La dernière en date a fait le tour du monde et c’est assez logique puisqu’il s’est amusé à imprimer la plus grande encyclopédie du web : Wikipedia.
Ou plutôt son édition anglaise, ce qui représente tout de même plus de 11,5 millions d’entrées.

Sur les 7 600 volumes de la version papier de l’encyclopédie Wikipedia, 91 se contentent de lister sa table des matières

Il lui a fallu environ trois ans pour mener à bien son projet. Trois ans, et plusieurs centaines de cartouches d’encre noire. Le résultat vaut le détour d’ailleurs puisque sa collection comporte très exactement 7 600 volumes.
Dans le lot, on trouve 91 tomes pour la table des matières de l’encyclopédie, et 500 pour les entrées commençant par des signes de ponctuation. Sachez en outre que les 36 derniers tomes listent simplement le nom des 7,5 millions de personnes qui ont contribué à Wikipedia.
Je ne sais pas pour vous mais ces chiffres me donnent le vertige.
Rassurez-vous tout de même car Michael n’a pas tout fait à la main. En réalité, il a développé un logiciel pour extraire et formater automatiquement les articles de l’encyclopédie. Ce qui représente un peu plus de 11 Go de données.
En outre, seuls 106 volumes ont été imprimés à l’heure actuelle. Ils seront exposés à New York dans quelques jours, dans le cadre du projet « Print Wikipedia ». Si les visiteurs le souhaitent, ils pourront aussi imprimer leur tome sur Lulu.com, pour la modique somme de 80 dollars.
Et si vous voulez la collection complète, alors vous devrez débourser pas moins de 500 000 dollars. Ce n’est pas donné mais le plus dur, finalement, ce sera de trouver de la place pour les exposer.
Pas sûr que ça tienne dans votre studio.
Quoi qu’il en soit, si vous comptez aller faire un tour à New York prochainement, alors sachez que toutes les infos utiles figurent sur cette page.

Facebook a un algorithme qui peut vous identifier de dos. Inquiétant ou pas ?

Si vous n’aimez pas la reconnaissance faciale, vous allez encore moins aimer ceci.

Harpe musique femme rue pixabay
Facebook et Google exploitent tous les deux déjà la reconnaissance faciale pour optimiser leurs services. Si sur le plan technologique, de tels systèmes sont de réels progrès, ils soulèvent aussi des questions relatives à la vie privée. Par exemple, Facebook utilise la reconnaissance faciale sur son application Moments pour réorganiser les photos des utilisateurs. Mais comme les régulateurs européens ne semblent pas tout à fait d’accord avec l’usage de cette technologie (ou du moins avec la manière dont elle est utilisée par Facebook), Moments n’est pour le moment pas proposé en Europe.
Mais Facebook cherche déjà un moyen d’identifier quelqu’un sur une photo sans compter sur les détails du visage, par exemple de dos ou avec un visage caché. C’est ce qui est révélé par le site New Scientist qui rapporte que l’algo qui est expérimenté par Facebook reconnait une personne sur une photo grâce à des informations autres que les traits des visages, comme les vêtements, la coiffure le corps, etc. Mark Zuckerberg, lui, est par exemple facile à reconnaitre grâce à son tee-shirt gris, explique Yann LeCun, un employé de Facebook en charge de l’intelligence artificielle.
Les chercheurs de Facebook ont collecté 40 000 photographies publiques du service de partage de photos Flickr pour faire les essais et dans 83 % des cas, l’algo aurait réussi à identifier les personnes sur celles-ci.
Pour l’heure, il s’agit d’une technologie expérimentale. Mais on imagine bien comment Facebook pourrait améliorer son appli Moments grâce à celle-ci. Après, la possibilité d’être identifié par une intelligence artificielle même lorsqu’on est de dos ou lorsqu’on cache volontairement son visage ne sera forcément pas bien accueillie par tous.

Qu'attend-t-on d'un blogueur professionnel?

La principale qualité d'un blogueur professionnel

Il n'y a pas de mystère, que ce soit pour un blogue, un journal ou le web, le contenu que l'auteur devra créer devra être de qualité et être un bon sujet d'intérêt. C'est donc, sur ce sujet que nous nous pencherons dans ce billet.

Une communication écrite efficace sera toujours le grand succès d'un blogueur professionnel.Le contenu du billet devra être un sujet qui est d'actualité dont la majorité des gens aimerais lire. Savoir faire de longue recherche, afin d'accentuer la qualité et la richesse de votre billet, doit être une étape cruciale au développement de bon billet qui stimule les lecteurs à vous lire davantage.

Bref, le grand succès d'un blogue ne réside pas nécessairement dans ses beaux graphiques et son décor coloré, mais plutôt dans le contenu de ses billets.

La crédibilité sur le web

Pourquoi être crédible sur le web?

Ai-je vraiment la confiance totale de mes lecteurs? voilà une question qui devrait être revu régulièrement dans le système du web par tous les créateurs. Que ce soit pour un propriétaire de blogue, de site web personnel ou pour une entreprise, l'importance d'une bonne crédibilité sur le web prend tout son sens.

Peu importe la raison qui vous pousses à être connu sur le web, comme par exemple: dans un but marketing, de projeter votre carrière au sommet ou bien pour générer des revenus de ses créations, la nécessité de nourrir une saine confiance avec ses lecteurs est primordiale. Bien sûr, cette confiance s'acquiert avec de bon contenus rafraîchissants, de la nouveauté à leurs offrir, et ce, sur une base régulière.

En conclusion, les créateurs sur le web savent à quel point il est difficile de conquérir un réseau de lecteurs important. Il est donc indispensable de travailler régulièrement à les fidéliser.

Les raisons d'appartenir à un groupe social

Pourquoi l'humain est-il tant attirer par les formations de diverses groupes sociaux de tout genre? les réponses sont multiples et serait donc trop exhaustive pour ce billet. Mais, en voici un petit résumé.

L'internet et les réseaux sociaux sont de nouvelles façons de créer des liens et de s'unir avec des gens qui ont les mêmes passions. Au 21ème siècle, la signification d'appartenir à un groupe social à prit une tout autre direction. Avec la venu d'un monde de plus en plus individualisme et axé sur les réseaux sociaux, il est maintenant très facile d'accéder à des groupes sociaux de tous les sujets. Par contre, pourquoi vouloir appartenir à ces groupes?

L'idée centrale d'appartenir à un groupe, est basée sur un système de partage et d'échange. Les groupes peuvent être des repères pour les gens, ce qui amène à un sentiment d'appartenance à la société qui l'entoure. Certaines personnes ont un grand besoin d'appartenance afin de ne pas se sentir seul et exclus, ou bien, pour ce divertir.

Évaluer les infromations trouvés sur internet

Vous avez déjà entendu « Savoir, c’est pouvoir ». Juste certaines informations qui donne le pouvoir: c’est les informations fiables. Si on prend une décision sur des mauvaises informations nous ne possédons pas le pouvoir. C’est pour cela qu’il faut toujours s’assurer de la crédibilité des informations.
Comment peut-on savoir si les informations sont fiables ou non?
Il existe une méthode qui s’appelle CEVA (crédibilité, exactitude, vraisemblance et appui) permettant de vérifier la qualité d’une information.
Selon cette méthode il faut poser des questions afin de s’assurer de la confiance de l’information
Qu’est ce qui rend cette source crédible?
D’où cette source tire-t-elle cette information?
Pourquoi dois-je croire cette source au lieu d’une autre?