mercredi 22 juillet 2015

L’éducation et le web social


L’éducation et le web social
Du point de vue économique ou social, l’éducation est un sujet assez important. Selon le dictionnaire Larousse, on pourrait définir l’éducation comme la «Formation de quelqu'un dans tel ou tel domaine d'activité ; ensemble des connaissances intellectuelles, culturelles, morales acquises dans ce domaine par quelqu'un, par un groupe.[1]» Dans le cadre de ce travail, nous nous concentrerons principalement sur l’éducation dans le cadre académique : l’enseignement d’une connaissance à un étudiant par un professeur.
De manière générale dans  le milieu académique, des échanges fréquents sont faits entre les étudiants et le professeur : cours donné par le professeur dans une salle de classe, questions de l’étudiant au professeur avant ou après le cours, questions d’un étudiant à un autre… Ces échanges ou encore interactions peuvent être regroupés en deux catégories. Les interactions formelles : échange entre l’étudiant et le professeur et les interactions informelles : échanges entre les étudiants. 

Le professeur est celui qui dispense le cours, c’est celui qui forme. Il détermine, les règles qui seront de mises dans le cadre de son cours. L’étudiant reçoit la connaissance, il a donc un besoin de formation qui est comblé par le cours dispensé par le professeur. Ces relations sont basées sur le fait que dans la société actuelle, le besoin de suivre un enseignement de qualité est indispensable pour avoir un emploi.  Tant et aussi longtemps que la société (les entreprises) demanderont des candidats ayant certaines connaissances, ces interactions demeureront.



De nos jours
Nous pouvons constater qu’avec les technologies de l’information et de la communication, certaines variations se font sentir.

Lieu de communication : le monde du virtuel
·         Il y a quelques années, par exemple tous les cours se donnaient exclusivement dans une salle de cours. Aujourd’hui, plusieurs cours sont donnés en ligne (par internet).
·         Comme autre changement on peut aussi constater que l’information qui autrefois était principalement contenue dans les livres se trouve maintenant disponible sur internet. On est donc passé de la bibliothèque physique à la bibliothèque virtuelle. Les échanges entre étudiants sont eux aussi plus «informatisés».
·         Les rencontres de groupe «physique» sont remplacées par des créations de groupe sur internet (Diigo, groupes sur Facebook etc.) permettant aux étudiants de pouvoir échanger librement et dans la confidentialité (groupe sécurisé).

Moyens de communication
·         Le changement le plus évident est celui du tableau noir et la craie remplacés par un vidéoprojecteur et un ordinateur et un tableau interactif blanc.
·         Le courriel est devenu le moyen de communication par excellence entre un professeur et l’étudiant. Lorsqu’un étudiant a besoin d’une information, il suffit qu’il envoie un courriel à son professeur ou à son camarade pour avoir l’information voulue.
·         Le cellulaire est aussi un outil de communication très utilisé par les étudiants dans leurs échanges.
·         Les professeurs utilisent aussi des plateformes telles que Moodle pour permettre aux étudiants d’avoir accès au cours. Elles permettent aux professeurs d’y mettre leurs cours, d’envoyer des messages à tous les étudiants inscrits au cours et même de créer des groupes où pourront échanger les étudiants.
Bien que ces changements qui incluent pour la plus part l’intégration du web social dans les échanges  permettent de faciliter l’apprentissage et la communication il faudrait tout de même y mettre des garde-fous.
Quand on observe par exemple le rôle du web participatif (tout ce qu’un utilisateur peut faire sur le web[2] dans l’éducation on constate qu’il existe encore une population ignorante ou qui manque «d’éducation numérique».  Cette population qui à l’heure du numérique et laissée à elle-même à plus de chance de mal se former que de recevoir l’éducation dont elle a besoin.

Plagier : la tentation
Larousse définit le plagiat comme : «commettre un plagiat ; piller les œuvres d'autrui, les reproduire exactement.»[3] Le risque de plagier a toujours été présent dans le milieu de l’enseignement. Lorsqu’un étudiant fait des recherches pour faire son travail de session, il arrive des fois qu’il trouve un travail similaire disponible sur internet ou une information qui serait intéressante pour la réalisation du travail. Un étudiant non éduqué au monde numérique pourrait alors tout simplement copier l’information telle qu’elle, sans donner la source et ce avec tous les risques que cela comporte : travail de mauvaise qualité, travail contenant des informations fausses etc.

La vérification des sources
·         Les blogues, les fora ou encore les encyclopédies libres permettent de rendre les informations plus accessibles. Ils ont cependant comme inconvénient (pouvant être un avantage quelques fois) que tout le monde peut y mettre son grain de sel. Vérifier donc les sources de toutes les informations trouvées sur internet devient un travail supplémentaire que les étudiants (et même les professeurs) doivent effectuer avant de sélectionner une source.
·         Les informations trouvées sur un forum par exemples peuvent être vraies tout comme elles peuvent d’avérer fausses. Il faut prendre en considération que les fora permettent à tout le monde de s’exprimer et de donner son opinion. En suivant ce lien: http://www.commentcamarche.net/forum/affich-859570-conversion-jpeg-pdf on constate que sur ce site un utilisateur a un problème : convertir des images en format PDF. Pour ce problème, il reçoit l’avis de plusieurs personnes. Ces personnes peuvent être des experts dans le domaine ou encore des personnes qui n’y connaissent rien. En prenant la peine de lire chacun des avis des différents utilisateurs et de donner une appréciation, cela permet aux autres utilisateurs de savoir quelle source considérer et quelle source ignorer.
Le contexte actuel semble déjà très évoluer. Mais avec les changements constants que subissent les technologies, on pourrait se demander comment les choses seront dans un an, dans cinq ans ou encore dans vingt ans.

Dans un an
En observant les tendances actuelles, il est difficile de voir un changement drastique dans l’année qui suit. On peut tout de même supposer que certains moyens de communication ou outils de recherche de l’information deviendront plus commun, que le pourcentage de la population les utilisant ne fera qu’augmenter.

Dans cinq ans 
·         Les tableaux numériques interactifs
Tout comme le TBI a remplacé le tableau noir, les TNI vont remplacer à leur tour les TBI. Facilitant l’apprentissage en permettant au professeur de faire des modifications directement sur le tableau et de conserver ces modifications dans l’ordinateur. L’article suivant nous explique plus précisément ce que c’est : http://www.gtn-quebec.org/publications/article/tableaux-numeriques-interactifs-interoperabilite/.
·        Du web2.0 vers le web 3.0
Apparu autour de 2003, le web 2.0 est l’évolution du web vers la simplicité et l’interactivité [4]. « Le web 3.0 quant à lui sera sémantique, c'est-à-dire que, au lieu de simplement montrer le contenu de la page, il pourra en comprendre le sens et faire des liens avec de l'information de même nature se trouvant ailleurs sur le réseau Interne… Le Web 3.0 permettrait d'ordonner l'information surabondante et chaotique qu'on trouve sur Internet en éliminant les éléments redondants et en sélectionnant ou en hiérarchisant les autres en fonction des besoins de chaque usager[5].»  On y voit donc là un outil intelligent qui aiderait sans doute les étudiants dans leurs travaux et facilitera la tâche au professeur.

Dans 20 ans
Je n’ose pas imaginer ce que pourrait être l’avenir de l’éducation dans 20 ans.  Nous sommes de plus en plus dépendants de la technologie. Lorsqu’un bureau n’a pas internet pendant quelques heures, presqu’aucun employé n’est capable de travailler. Lorsqu’une école n’a pas internet pendant le même nombre de temps il est difficile pour le professeur d’aller chercher son cours (sur Moodle par exemple). Comment ferons-nous dans vingt ans? Serons-nous toujours victime de cette dépendance? Personnellement je pense que oui. Plus l’homme découvre de nouvelles technologies et plus il se rend compte des avantages de cette technologie, plus il en a besoin. Il y a des milliers d’années l’Homme faisait le feu avec deux pierres, quelques temps après il a commencé à le faire avec des allumettes ensuite sont apparus les briquets et les différentes variations. Qui irait encore allumer du feu avec deux pierres? Le monde ne recule pas mais avance, les technologies aussi et l’éducation ne sera pas laissée pour contre.

La place aux hologrammes.
L’éducation de mon point de vue dans 20 ans  est une éducation qui fait place aux hologrammes.  Un hologramme du professeur pourrait dont être créer et ce dernier pourrait donner cours aux étudiants peut importe où ils se trouveraient. J’ai récemment lu un article qui parlait de l’apparition d’un rappeur mort il y a quelques années sous forme d’hologramme. Si on est capable de faire des hologrammes d’un mort, alors qu’est ce qui nous empêche d’en faire d’un vivant?



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mercredi 1 juillet 2015

Bilan de l'activité B - INF6107

[INF 6107]  - Activité B


BILAN


Choix de thème

À première vue de ce cours INF 6107, on a l'impression que c'est un cours d'amusement mais erreur car utiliser les réseaux sociaux et tous les outils qui y rassemblent, n'est pas chose aisée mais nécessite un grand investissement de temps.

Vous voulez avoir plus d'information sur ce cours de Web Social, cliquez sur INF 6107.
Dans l'initiative universitaire de mettre en pratique les outils du web social, c'est avec un grand plaisir que je vous amène dans l'univers des cuisines des quinze (15) pays de l'Afrique de l'Ouest.
Parler de l'alimentation en Afrique, c'est inévitablement évoquer les problèmes tragiques de faim et de famine, et plus rarement vanter les mérites d'une gastronomie aussi diverse que surprenante. Nord, centre, Sud, Est ou Ouest, le continent africain propose de nombreuses spécialités culinaires riches et variées. Je vous présenterai quelques spécialités de l'Afrique de l'Ouest. A vous de trouver la recette qui vous correspond!
Au début de cette activité je dois avouer que j’ai eu beaucoup de difficultés à choisir le thème. J’ai réservé plusieurs jours pour le choix du thème et puis finalement j’ai trouvé qu'un regroupement des recettes africaines en ligne serait un sujet très intéressant. En effet, de nos jours tous les africains immigrants en occident ont souvent la nostalgie de leurs plats préférés. Cette réalisation pourrait leur être un rappel surtout qu'à chaque plat présenté ici est associé en même temps sa recette.
Mise en place

Pour promouvoir mon initiative plusieurs moyens de communication ont été utilisés pour attirer l’attention d’un grand nombre de personnes. Premièrement, j’ai utilisé le mailing dans lequel j’ai diffusé un grand nombre de e-mails incluant mon initiative pour mes amis. Le second moyen, c’était Facebook dans lequel j’ai partagé le lien de mon blog sur mon mur avec tous mes amis. Finalement, j’ai partagé mon lien avec le groupe du cours INF6107 sur Diigo. 

Les liens

Statistiques

Après avoir passé un mois depuis le début de cette activité, je peux vous partager le fruit de mes efforts: j’ai eu 92 visites du Canada et 26 des États-Unis.







Facteurs d’aide ou de nuisance à la visibilité

Selon les statistiques, les moteurs de recherche représentent l’un des facteurs les plus importants qui m’ont aidé à promouvoir mon initiative.

Je n'ai eu aucun commentaire ou abonnement mais j'ai eu beaucoup de plaisirs à faire mes billets surtout ceux sur mon site personnel. Ceci étant dit, je considère avoir eu quand même beaucoup de visite pour un sujet léger comme celui que j'ai choisi.

Conclusion

Cette activité m’a démontré comment attirer et sensibiliser les gens sur un sujet bien déterminé.

De nos jours, c’est non seulement les moteurs de recherche qui permettent de promouvoir des sujets sur l’internet mais aussi c’est grâce aussi à l’interaction avec les outils du web social tels que les réseaux sociaux, les forums, les blogues.