Le web 4.0 fait la jonction entre le monde réel (soit mes besoins) et le monde virtuel qui calcule tous le paramètres à ma place et m’aide à prendre des décisions. Concrètement, avant que le web 4.0 n’apparaisse nous aurons besoin d’un sérieux travail d’archivage, de classement, soit, de libéralisation de données réelles pour les reporter dans le monde virtuelle. Cela ouvre la porte à un nouveau modèle économique, de nouveaux métiers, une nouvelle façon de vivre en somme!
L’identité sera au centre du système car le web 4.0 s’adapte à qui vous êtes.
Être traçable numériquement est bien sûr intéressant, mais cela regorge de dangers : le piratage électronique. Pour s’en prémunir des solutions sont en train d’émerger tels que l’achat de coffres numériques, qui liés à un code confidentiel sécuriserait vos données. Mais pour combien de temps ? Quel sera le niveau de sécurité ? Et enfin à quel prix ? Toute une nouvelle économie virtuelle, parallèle à celle qui existe déjà est appelée à entrer en scène. Au niveau du cloud computing; il sera difficile pour l’internaute lambda de connaître la ou les sources des informations, tellement les données seront regroupées, puis découpées, et traitées par tout un ensemble de logiciels et base de données. La véracité de l’information sera bien plus difficile à trouver qu’elle ne l’est déjà en ce moment. Enfin, les moteurs de recherches véritables empereurs du net : quels seront leurs positions et leurs actions dans ce nouveau mode de fonctionnement ?
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